Voilà plus d'une décennie que Driver cultive sa cool attitude et son second degré sur la scène rap français, avec comme fil conducteur une passion revendiquée pour le son californien. Citant volontiers Mac Dre ou Kurupt Young gotti, il laisse transparaitre ses influences dès son premier opus, «Le Grand Schelem ». On se souvient tous de cette pochette mythique montrant un Driver sapé en golfeur, reprenant l'imagerie du self made man à l'américaine.
La connexion avec Aélpéacha était donc logique et débute dès son deuxième album, « Swing popotin »,qui contient son lot de réjouissances.
La connexion avec Aélpéacha était donc logique et débute dès son deuxième album, « Swing popotin »,qui contient son lot de réjouissances.
S'en suit de multiples apparitions sur les projets menés par l'ambassadeur de Splifton et sur les albums estampillés g-funk fr: Southcide 13, Seno, 4.21... Entre phases bien senties, références percutantes, et flow original, le style de Driver fait mouche.
Le porte flambeau infatigable de Sarcelles devient le MC hype qu'il faut avoir sur tout album placé sous le signe de l'astre solaire, de la ride ou du liquide bienfaisant.
Après une première tentative avortée d'album commun en 2004, le projet avec Aélpéacha est relancé en 2009 pour le plus grand bonheur des fans. L'album, qui s'intitulera "l'Architecte" ,est prévu pour la rentrée.
Après une première tentative avortée d'album commun en 2004, le projet avec Aélpéacha est relancé en 2009 pour le plus grand bonheur des fans. L'album, qui s'intitulera "l'Architecte" ,est prévu pour la rentrée.
Le premier single, « Un mec cool », est un coup de maître: vibe g-funk et présence dans le « newest joint » de Dubcnn, site référence de l'actu westcoast outre-Atlantique. C'est clean.